LA MARQUE OZELYS / 1 : LES HÉLICES
Si l’idée première était de trouver un nom rappelant le mot « pétale », rendant hommage à ce petit garçon qui désigna un jour de ce vocable botanique la voilure d’un hélicoptère, la marque Ozelys renvoie finalement aux hélices, tout simplement.
L’hélice est quasiment aussi ancienne que l’idée du vol. Jean-Marie Ballu, dans son ouvrage Bois d’aviation, rappelle que « la première hélice connue est la « vis sans fin » ou « vis d’Archimède » au IIIe siècle av JC. (…) Les dessins de Léonard de Vinci présentent aussi l’image de l’ancêtre du rotor. (…) Quant aux bateaux, leurs premières hélices, fin XVIIIe – début XIXe, étaient des tronçons de vis sans fin avant d’arriver au concept des pales fixées sur un axe. Avant Clément Ader en 1890, Félix du Temple déposa le 2 mai 1857 son brevet d’une machine aérienne tractée par une hélice à douze pales, il avait démontré que pour voler il fallait une force extérieure qui entretienne la sustentation, celle d’un moteur équipé d’une hélice.»
Avant d’arriver à l’hélice, on imagina des machines volantes à rames, pour « naviguer dans l’air ». Aujourd’hui encore, chez les constructeurs d’avions, d’hélicoptères et de drones, les ingénieurs planchent sur les meilleures hélices, leur vitesse de rotation, leur longueur, leur diamètre, le nombre de pales etc.
« Il est amusant de rappeler que de nombreux grands noms de l’aéronautique d’aujourd’hui sont nés dans le travail du bois, l’ébénisterie ou la menuiserie, tels Dassault (Marcel Bloch et son hélice Eclair, ndlr), Ratier, Chauvière, Morane-Saulnier devenu EADS puis Airbus. » note Jean-Marie Ballu. Il cite également Ferdinand Collin commentant, la traversée victorieuse de la Manche : « on reste confondu d’observer que c’est grâce à ce misérable morceau de bois pesant environ cinq kilos et taillé en hélice, que Blériot fut transporté en Angleterre. »
Tout, au sein de l’agence, nous rapproche des hélices. Notre domaine d’intervention bien sûr, mais aussi notre point d’ancrage : sur l’aéroport le plus mythique du monde, au sein du musée de l’Air et de l’Espace qui conserve des milliers de précieuses hélices et au-dessus du restaurant… « L’Hélice ».
Nous avons anticipé les réponses à deux objections. « avions à hélices = avions d’ancienne génération ? » Faux. Par ailleurs, tous les avions en sont équipés, même les jets dont les hélices sont carénées. Un nom trop restrictif à l’aérien ? Les bateaux et les voitures ont aussi leurs hélices ! La voie de la diversification est ouverte.
Nous aimons ce clin d’œil : l’hélice, qu’elle soit tractive, propulsive ou sustentatrice, est une FORCE MOTRICE, guidée par son AXE : comme notre métier. « L’agence propulsive » est ainsi devenue notre signature.
Les hélices propulsent notre créativité et notre motivation, pour toujours mieux vous servir. Alors, faites appel à « l’agence aux hélices » !
PN
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