L’EFFERVESCENCE DU SALON DU BOURGET

26 juin 2015

Synonyme d’effervescence ? Agitation, ébullition. Cela s’applique aussi au Salon du Bourget, qui tous les deux ans, est le plus important salon aérospatial au monde. 2000 exposants, 350 000 visiteurs, 4000 journalistes accrédités, des milliards de dollars de commandes. Chaque année impaire, l’ambiance feutrée et confidentielle du terrain d’affaires du Bourget, laisse la place pendant une semaine à celle d’une mégalopole en mouvement perpétuel. Et nous sommes aux premières loges.

Vivre au Bourget permet de connaître le salon côté coulisses, de voir à partir du mois de février les infrastructures se monter et cette ville dans la ville se peupler. C’est aussi avoir l’immense privilège de bénéficier d’un point de vue idéal sur les démonstrations aériennes et sur les entraînements la semaine qui précède. A chaque salon, l’activité de l’agence s’adapte à ce contexte unique. Pendant une semaine et les mois en amont, tout le monde aéronautique tourne autour du Salon du Bourget, donc le nôtre aussi.

Cette année fut un grand cru pour Ozelys. D’une part, car nous avons annoncé nos partenariats à cette occasion et d’autre part car ce fut une année record en termes de missions simultanées pour nos clients, exposants ou non.

Airborne Films lançait son film « Aerospace » en avant-première. Aérostar TV produisait son premier JT. Lunajets présentait sa nouvelle application mobile. Safety Line expliquait en quoi le big data s’applique au transport aérien. Starburst Accelerator et ses startups constituaient le pôle innovation du salon. Time to Fly lançait son nouveau site. Aux attachées de presse d’Ozelys de faire passer les messages !

Enfin, cette édition nous aura laissé d’excellents souvenirs car l’ambiance n’était pas seulement sur le tarmac mais également chez nous, un appartement-agence qui a pris le visage d’un studio télé, où se tenaient des réunions dans tous les coins et où sont passés nous voir de nombreux amis. Retour en images sur le salon 2015.

Notre secret pour être les premiers arrivés et les derniers partis ? Dormir au bureau.
© Ozelys

Eric Magnan et François-Olivier Robin présentent leur dernière pépite. Lancement presse du film Aerospace, au chalet du président du GIFAS.
© Ozelys

Installation de l’antenne satellite d’Aérostar TV. © Ozelys

Pierre Jouniaux, président de Safety Line, est interviewé par Le Monde.
© Ozelys

Nos clients et néanmoins partenaires Barnstormer et Aérostar TV. Et Hugues Duval, pilote sur B777 ou sur Fouga selon le moment.
© Ozelys

L’équipage Ozelys, à votre disposition.
© Ozelys

Si nous ne courons pas sur le tarmac, nous sommes à nos postes !
© Ozelys

Eric Magnan, interviewé par France 3.
© Ozelys

Un ami, journaliste chouchou (ne le dites pas aux autres…) : Olivier Santicchi, de TF1.
© Ozelys

La Fédération Française Aéronautique a un emplacement de choix : en plein cœur du tarmac. Stratégique pour le recrutement d’adhérents et de visiteurs aux championnats du monde de voltige qui approchent.
© Ozelys

Merci à la Fédé pour cet avion à notre nom. Mais la couleur ne va pas du tout, il faut le renvoyer à l’atelier et changer pour un bleu Klein.
© Ozelys

Notre « vigie », un endroit propice aux interviews tout en gardant un œil sur le salon. Ici, Laurent Détroyat, directeur commercial de LunaJets, avec la rédaction de Ultimate Jet.
© Ozelys

Vue sur le salon depuis l’agence.
© Ozelys

Catherine Maunoury, directrice du musée de l’Air et de l’Espace, accorde une itw en direct à France 3, avant d’effectuer sa démonstration de voltige.
© Ozelys

Contrairement aux apparences, c’est un travail d’équipe.
© Ozelys

Notre « mur opérationnel », un véritable plan de bataille.
© Ozelys

Des portes auxquelles nous avons beaucoup frappé…
© Ozelys

Ca passe en soute ?
© Ozelys

Là, oui !
© Ozelys

Tweete ce que je dis, pas ce que je fais. Bernard Chabbert déroule le programme des tournages du jour.
© Ozelys

Le Salon du Bourget, un panier de crabes ? Non, simplement le homard de la chronique gastronomique Lacroute & Buffet d’Aérostar TV ! Un tournage pour lequel la quasi-totalité de notre déco a été réquisitionnée.
© Ozelys